Remise des insignes de Chevalier de l'Ordre national du Mérite à Catherine Miffre

Vendredi  3 novembre 2017, c’est dans les salons de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Perpignan que Catherine Miffre a reçu les insignes de chevalier de l’Ordre national du mérite en présence de nombreuses personnalités, Laurence Gayte, députée, les sénateurs François Calvet et Jean Sol, Hermeline Malherbe, Présidente du Conseil Départemental, Robert Vila et Nathalie Pique, Bernard Fourcade, président de  la chambre de commerce et d’industrie, Jean-Paul Billes, maire de Pézilla la Rivière, et une grande partie du conseil municipal. .

Cette distinction lui a été octroyée à la demande d’Alain Marleix, ancien ministre de la Santé, proposée par Marisol Touraine, ministre de la Santé, et officialisée par décret du Président de la République.

Dans son éloge, Marie-Christine Bousquet, sa « marraine », maire de Lodève et vice-présidente du conseil départemental de l’Hérault, a rappelé le parcours de la récipiendaire, mettant l’accent sur les qualités qui la caractérisent : travail, engagement, esprit d’entreprise, force de caractère, goût des autres, attachement aux valeurs familiales.

Des qualités qui l’ont mené de l’inspection de la DDAS de 1981 à 1992, à la direction d’établissement de santé, puis du groupe Fontavie du docteur Desplan. Elle va le faire évoluer en restructurant et créant des établissements, à Osséja, Font-Romeu, Lodève, Riom es Montagnes, Paris.

Elle va enfin créer en 2015 avec quatre autres membres du groupe la société 5 santé, dont elle est la présidente : elle va y racheter la partie « réhabilitation » du groupe Fontalvie, soit trois cliniques du souffle, et en acquérir une quatrième en 2017 à Hauteville Lompes (Ain).

Ces compétences, Catherine Miffre les a également mises au service de son village, Pézilla la Rivière, en devenant conseillère municipale en 1989 et depuis 2015 première adjointe au maire.
Elle y a notamment porté le projet de maison de retraite. Un engagement, comme elle le dira elle-même où « il n’y a pas de présidente ».