Les deux ans de Présidence de Nicolas Sarkozy
Le mandat que nous avons confié, il y a maintenant deux ans à Nicolas SARKOZY, était clair. Il s'agissait d'interrompre le déclin de notre pays.
Nous étions confrontés au classement affligeant de nos universités, à une perte de compétitivité, à un manque d'attractivité, à la faiblesse du temps travaillé et à une pression fiscale excessive.
Alors l'élection de Nicolas SARKOZY c'était la "victoire de la France qui reprenait confiance en elle-même, qui se remettait à croire à son destion et qui se disait que tout n'était pas fini".
Mais la crise mondiale, la plus grave depuis 1929, c'est vrai, a contrarié la volonté de travailler plus pour gagner plus. La remontée du chômage, a laissé place à une inquiétude attisée par la gauche et la plupart des médias. La litanie des restructurations douloureuses sont là pour nous faire croire que le pays est plongé dans l'enfer économique passant sous silence les entreprises qui marchent et les succès français.
Non, ce ne sont pas des réformettes qui ont été votées : car réputées irréalisables, les réformes suivantes ont été lancées :
Les régimes spéciaux, la carte judiciaire, la carte militaire, l'autonomie des universités, les lois sur la grande distribution, le statut d'auto-entrepreneur, la loi sur la représentation syndicale, l'exonération de charges sociales pour les heures supplémentaires, l'exonération d'impôt pour la plupart des successions, et le bouclier fiscal. Et tout cela en deux ans !
Sur la scène internationale, la France a retrouvé son influence et c'est elle qui a provoqué la réunion du G20.
La crise peut masquer ces sucècs, mais elle ne les gommera pas. Face à cette crise, le Prsident et son Gouvernement n'auront manqué ni de réactivité, ni de cohésion. L'ampleur des mesures de relance mises en place pour sortir de la récession montre la détermination de notre Président à faire rentrer la France dans la modernité.
Nous étions confrontés au classement affligeant de nos universités, à une perte de compétitivité, à un manque d'attractivité, à la faiblesse du temps travaillé et à une pression fiscale excessive.
Alors l'élection de Nicolas SARKOZY c'était la "victoire de la France qui reprenait confiance en elle-même, qui se remettait à croire à son destion et qui se disait que tout n'était pas fini".
Mais la crise mondiale, la plus grave depuis 1929, c'est vrai, a contrarié la volonté de travailler plus pour gagner plus. La remontée du chômage, a laissé place à une inquiétude attisée par la gauche et la plupart des médias. La litanie des restructurations douloureuses sont là pour nous faire croire que le pays est plongé dans l'enfer économique passant sous silence les entreprises qui marchent et les succès français.
Non, ce ne sont pas des réformettes qui ont été votées : car réputées irréalisables, les réformes suivantes ont été lancées :
Les régimes spéciaux, la carte judiciaire, la carte militaire, l'autonomie des universités, les lois sur la grande distribution, le statut d'auto-entrepreneur, la loi sur la représentation syndicale, l'exonération de charges sociales pour les heures supplémentaires, l'exonération d'impôt pour la plupart des successions, et le bouclier fiscal. Et tout cela en deux ans !
Sur la scène internationale, la France a retrouvé son influence et c'est elle qui a provoqué la réunion du G20.
La crise peut masquer ces sucècs, mais elle ne les gommera pas. Face à cette crise, le Prsident et son Gouvernement n'auront manqué ni de réactivité, ni de cohésion. L'ampleur des mesures de relance mises en place pour sortir de la récession montre la détermination de notre Président à faire rentrer la France dans la modernité.
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