Actualites

Inauguration de la permanence de campagne de Jean-Paul Alduy

Beaucoup de monde mercredi 3 juin dernier sur la place Arago à 18h00 à l'occasion de l'inauguration de la permanence de campagne de Jean-Paul ALDUY en présence des trois députés, François CALVET, Daniel MACHE et Jacqueline IRLES.

Après avoir entendu Pierre PARRAT, Jean-Marc PUJOL, Danièle PAGES et Aminda QUERALT, Jean-Paul ALDUY a remercié les perpignanais d'être venus si nombreux et a donné les grandes lignes de son programme. Après s'être consacré aux grands projets pour installer Perpignan dans le réseau des grandes villes européennes, après avoir réalisé les grands équipements nécessaires pour préparer l'avenir de notre jeunesse, Jean-Paul ALDUY consacrera ce mandat au cadre de vie, aux services de proximité. Il a entendu les inquiétudes ds perpignanais sur la montée de l'incivisme et de l'insécurité, il saura y répondre par des moyens adaptés.

Jean-Paul ALDUY a ensuite présenté les 54 membres de sa liste dont le n°55 est l'emblématique Jean-François IMBERNOM.


 

L'USAP en finale

Devant plus de 20 000 catalans déchaînés, dans un stade rouge et jaune, qui ont porté leur équipe quatre vingt minutes durant, les sang et or ont confirmé leur statut de leader en menant toute la partie face à des Parisiens toujours aussi difficiles à jouer sur ce genre de match.
Le coup de sifflet final a délivré tout un peuple qui peut désormais rêver de ramener le bouclier en Catalogne.

Samedi 6 juin, les Catalans seront au Stade de France pour affronter les Clermontois et gagner cette finale.

François CALVET, présent à Lyon, sera bien sûr, présent à Paris pour supporter l'USAP.










 

Opération organisée autour des enfants autistes à l'Intermarché du Soler

Samedi 23 mai dernier, le directeur de l'Intermarché du Soler, Monsieur STYLIATIS, organisait une manifestation en faveur de l'association "Sésame Autisme" afin de sensibiliser le grand public à l'autisme, cette affection encore mal connue.

L'autisme est un trouble du comportement qui se manifeste par une inadaptation à l'environnement social et familial et une impossibilité à communiquer avec son entourage. Ce trouble est un gros handicap et a de lourdes conséquences tant sur le plan familial que social et professionnel.

Un bus des Dragons Catalans a stationné sur le parking de l'Intermarché où il a été vendu des "gadgets" au profit de l'association "Sésame Autisme". Plusieurs commerçants se sont joints à cette opération et des fonds ont ainsi été recueillis au bénéfice de l'Association, présidée par Madame Marie MAFFRAND.

François CALVET a rappelé l'engagement de la ville du Soler, qui a cédé gratuitement un terrain communal pour la construction de l'IME. En sa qualité de Député, il a pu obtenir, au sein de cet établissement, 8 places pour les autistes.

Il s'est ensuite engagé à proposer à la Commission des Finances de l'Assemblée nationale une subvention, au titre de la réserve parlementaire, d'un montant de 2000 euros au bénéfice de l'Association. Le dossier sera déposé dès le mois de septembre.







 

Les deux ans de Présidence de Nicolas Sarkozy

Le mandat que nous avons confié, il y a maintenant deux ans à Nicolas SARKOZY, était clair. Il s'agissait d'interrompre le déclin de notre pays.

Nous étions confrontés au classement affligeant de nos universités, à une perte de compétitivité, à un manque d'attractivité, à la faiblesse du temps travaillé et à une pression fiscale excessive.

Alors l'élection de Nicolas SARKOZY c'était la "victoire de la France qui reprenait confiance en elle-même, qui se remettait à croire à son destion et qui se disait que tout n'était pas fini".

Mais la crise mondiale, la plus grave depuis 1929, c'est vrai, a contrarié la volonté de travailler plus pour gagner plus. La remontée du chômage, a laissé place à une inquiétude attisée par la gauche et la plupart des médias. La litanie des restructurations douloureuses sont là pour nous faire croire que le pays est plongé dans l'enfer économique passant sous silence les entreprises qui marchent et les succès français.

Non, ce ne sont pas des réformettes qui ont été votées : car réputées irréalisables, les réformes suivantes ont été lancées :

Les régimes spéciaux, la carte judiciaire, la carte militaire, l'autonomie des universités, les lois sur la grande distribution, le statut d'auto-entrepreneur, la loi sur la représentation syndicale, l'exonération de charges sociales pour les heures supplémentaires, l'exonération d'impôt pour la plupart des successions, et le bouclier fiscal. Et tout cela en deux ans !

Sur la scène internationale, la France a retrouvé son influence et c'est elle qui a provoqué la réunion du G20.

La crise peut masquer ces sucècs, mais elle ne les gommera pas. Face à cette crise, le Prsident et son Gouvernement n'auront manqué ni de réactivité, ni de cohésion. L'ampleur des mesures de relance mises en place pour sortir de la récession montre la détermination de notre Président à faire rentrer la France dans la modernité.

François Calvet à Nîmes à l'occasion du discours de Nicolas Sarkozy sur l'Europe

Plus de 4000 personnes ont assisté mardi 5 mai dernier à Nîmes, à l'intervention du Président de la République sur l'Europe.

Dans son entrée en la matière, Nicolas SARKOZY a bien défini que le travail des responsables politiques n'était pas de prévoir ce que tous les experts du monde ne savent pas prévoir ou de prévoir le calendrier de la reprise, mais d'agir pour que les effets de la crise soient les moins douloureux possibles, pour que les sacrifices soient le plus équitablement répartis, pour que la reprise intervienne le plus tôt possible pour que la France soit en position de tirer le meilleur profit de la reprise mondiale lorsqu'elle interviendra.

Depuis deux ans, la France a eu le courage de se réformer et a bousculé les conservatismes qui la condamnait à un déclin irrémédiable. Elle a pris le parti de l'action contre celui du renoncement. Si nous voulons laisser à nos enfants une France plus belle, plus grande, plus forte, nous n'y parviendrons pas sans l'Europe.

Longtemps nous n'avons pas pris l'Europe au sérieux, nous nous sommes contentés d'une Europe de l'impuissance. L'Europe qui devait unir tous les Français parce qu'elle est l'expression d'un avenir commun, les a divisés.

Si nous voulons que l'Europe parle au coeur et à la raison de tous les Français et de tous les Européens, si nous voulons qu'ils cessent de se sentir étrangers à la construction européenne, alors il faut changer l'Europe et cela a été fait sous la présidence française.

Tout d'abord il faut que l'Europe cesse de se diluer dans un élargissement sans fin et qu'elle ait des frontières. Si la Turquie partage avec l'Europe une part de destinée commune, elle n'a pas vocation à devenir membre de l'Union européenne.

L'Europe ne doit pas être une forteresse, ni se replier sur elle-même, l'Europe est une source car, de par son histoire, elle entretient avec une partie du monde des liens d'une intensité particulière.

Pour que l'Europe fonctionne, il faut qu'elle puisse être gouvernée, c'est la raison pour laquelle il fallait sortir de la crise ouverte par le rejet de la Constitution Européenne. Le Traité de Lisbonne proposé par Nicolas SARKOZY a été ratifié par 25 pays sur 27. L'adoption définitive donnera une stabilité à l'Europe.

L'Europe qui agit, c'est celle qui se fait entendre et qui a été capable de réunir tous les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro avec le Président de la Commission européenne, le Président de la Banque Centrale Européenne, afin qu'ils puissent, pour la première fois, débattre et travailler ensemble. L'Europe qui agit, c'est celle qui a sauvé les banques quand elles étaient menacées d'effondrement, qui a sauvé son industrie automibile et qui n'a pas ouvert la porte aux prédateurs en empêchant deux grandes entreprises européennes de s'unir.

L'Europe, dans le monde d'aujourd'hui, ne peut pas se passer d'une politique économique concertée. Elle a besoin d'investir pour préparer l'avenir, car lorsqu'on fait le choix de la relance par l'investissement, on creuse les déficits, mais on prépare l'avenir.

Nous ne pouvons pas espérer demain, quand la crise sera finie, avoir plus de croissance, plus d'emplois, plus de pouvoir d'achat si le travail est plus taxé en France que partout ailleurs en Europe, si nos ménages et nos entreprises payent plus d'impôts, plus de charges que dans les autres pays européens.

La France se battra aux côtés des 26 partenaires européens pour obtenir un accord mondial pour lutter contre le changement climatique, mais face aux pays qui refuseraient de jouer le jeu, elle se battra pour instaurer une taxe carbone.

Il nous faut des débats sur la politique monétaire, budgétaire, de la concurrence et sur la fiscalité en contestant la règle de l'unanimité pour faire baisser la TVA.

Politique industrielle, politique énergétique, politique agricole commune, seront au coeur de l'engagement de la France pour l'Europe.

L'Europe se devra d'être exemplaire sur la régularisation financière, la règlementation des fonds spéculatifs, sur les paradis fiscaux, sur les rémunérations des dirigeants et des opérateurs financiers.

Faire de la politique, c'est une façon de vouloir refaire le monde, mais nous ne le referons pas tout seul, nous le referons avec tous ceux qui partagent le même dessein et d'abord, avec nos partenaires de l'Union Européenne. Nous devons changer l'Europe. La Présidence Française en a apporté la preuve, une autre Europe est possible. La réponse ne dépend que des européens eux-mêmes, de chacun d'entre nous, l'Europe ce n'est pas eux, l'Europe c'est nous.



 
Plus d'articles...