La position de la France en Lybie
Face au drame qui se déroule sous nos yeux en Lybie, face à la folie meurtrière de Mouammar KADHAFI à l'encontre de son propre peuple, il fallait réagir pour sauver les populations civiles.
Ne pas intervenir, c'était certes ne pas prendre de risque. Mais ne pas intervenir, c'était laisser sans assistance un peuple en danger de mort.
Grâce à la détermination de Nicolas SARKOZY, la France, épaulée par son allié britannique, a su convaincre le Conseil de sécurité des Nations Unies de la nécessité d'agir en urgence en Lybie, alors même que la communauté internationale affichait ses doutes.
Sous son impulsion, le Conseil de Sécurité a adopté le 18 mars la résolution 1973 qui exige un cessez-le-feu immédiat et autorise à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger la population civile contre les attaques et exactions des forces du Colonel KADHAFI.
Estimant que les actions des troupes du régime libyen étaient passibles de crimes contre l'humanité, le Conseil de Sécurité a aussi saisi la Cour Pénale Internationale.
Le lendemain, Nicolas SARKOZY réunissait le "Sommet de Paris pour le soutien au peuple libyen" où tous les chefs d'Etat concernés et le Secrétaire Général des Nations-Unies, Ban KI-MOON, ont affirmé avec force leur détermination d'assurer la protection du peuple lybien dans le respect de la souveraineté et de l'intégrité de son territoire.
En y associant pleinement la ligne arabe, en construisant un consensus autour de la nécessité d'intervenir, le Président Nicolas SARKOZY a mis la France au coeur de l'action diplomatique mondiale.
A l'instar du succès de sa présidence de l'Union européenne, lorsqu'il avait réussi à mobiliser la communauté internationale en pleine crise financière, et lorsqu'il avait présenté à Moscou un plan de paix pour apaiser la crise entre la Russie et la Géorgie, Nicolas SARKOZY fait preuve une nouvelle fois d'un courage exceptionnel et d'une force de persuasion indéniable.
Nous pouvons être fiers que notre pays contribue de toutes ses forces à la défense du peuple libyen.
Le drapeau français qui flotte à Benghazi, le fief des opposants au régime de KADHAFI, est un symbole fort pour notre pays et son Président.
Ne pas intervenir, c'était certes ne pas prendre de risque. Mais ne pas intervenir, c'était laisser sans assistance un peuple en danger de mort.
Grâce à la détermination de Nicolas SARKOZY, la France, épaulée par son allié britannique, a su convaincre le Conseil de sécurité des Nations Unies de la nécessité d'agir en urgence en Lybie, alors même que la communauté internationale affichait ses doutes.
Sous son impulsion, le Conseil de Sécurité a adopté le 18 mars la résolution 1973 qui exige un cessez-le-feu immédiat et autorise à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger la population civile contre les attaques et exactions des forces du Colonel KADHAFI.
Estimant que les actions des troupes du régime libyen étaient passibles de crimes contre l'humanité, le Conseil de Sécurité a aussi saisi la Cour Pénale Internationale.
Le lendemain, Nicolas SARKOZY réunissait le "Sommet de Paris pour le soutien au peuple libyen" où tous les chefs d'Etat concernés et le Secrétaire Général des Nations-Unies, Ban KI-MOON, ont affirmé avec force leur détermination d'assurer la protection du peuple lybien dans le respect de la souveraineté et de l'intégrité de son territoire.
En y associant pleinement la ligne arabe, en construisant un consensus autour de la nécessité d'intervenir, le Président Nicolas SARKOZY a mis la France au coeur de l'action diplomatique mondiale.
A l'instar du succès de sa présidence de l'Union européenne, lorsqu'il avait réussi à mobiliser la communauté internationale en pleine crise financière, et lorsqu'il avait présenté à Moscou un plan de paix pour apaiser la crise entre la Russie et la Géorgie, Nicolas SARKOZY fait preuve une nouvelle fois d'un courage exceptionnel et d'une force de persuasion indéniable.
Nous pouvons être fiers que notre pays contribue de toutes ses forces à la défense du peuple libyen.
Le drapeau français qui flotte à Benghazi, le fief des opposants au régime de KADHAFI, est un symbole fort pour notre pays et son Président.
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