Mardi 17 mars dernier, François CALVET s'est rendu au ministère de la justice en compagnie de Daniel MACH et de Jean-Paul ALDUY afin de faire le point sur la sur la restructuration du Palais de Justice de Perpignan.
Ils ont ainsi été reçus par le directeur de cabinet de Madame la Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, en présence de Jean-Pierre DRENO, Procureur de la République, Dominique DECOMBLE, Président du Tribunal de Grande Instance, Madame TRONCHIN, 1ère Présidente de la Cour d'Appel mais également le Procureur Général de la Cour d'Appel de Montpellier.
Aussi, à ce jour, on sait avec certitude que le Palais de Justice ne pourra pas être agrandi sur place, pour des raisons de sécurité : en effet, il y a un parking sous la dalle Arago et reconstruire le Palais de Justice in situ pourrait être source de risques. S'étendre sur les bâtiments de la Poste serait également compliqué, aussi il a été argumenté pour la construction sur un des terrains de l'ancienne STEFF, à Saint-Assiscle. Il s'agira alors de réaliser une vraie cité judiciaire, regroupant les tribunaux d'instance, le tribunal de commerce et le tribunal des prud'hommes.
L'enveloppe de 30 millions d'euros promises par le ministère semblant juste au regard des 56 millions d'euros de dépense prévus, il a été demandé au Ministère des Finances la possibilité d'un partenariat public-privé.
Cette réunion a donc clôt le débat sur l'éventualité d'un tribunal en centre ville ou en périphérie : le Palais de Justice a besoin de s'agrandir et d'être rénové et pour les raisons de sécurité évoquées ci-dessus, seule la cité judiciaire à Saint-Assiscle répond à l'ensemble des critères.