L'action de François Calvet

MON PROJET : RECONQUETE DES BERGES DE LA TET

A l’intérieur du projet de territoire porté par l’Agglomération Perpignan Méditerranée, la reconquête des berges est un projet qui me tient particulièrement à cœur. La Têt est le fleuve qui lie les hommes de la montagne à la mer.
Afin de lui donner la dimension européenne que mérite ce projet, notre équipe s’est déplacée d’une part à Lérida en Catalogne Sud et d’autre part à Lyon pour voir ce qui se fait dans d’autres villes et sur d’autres territoires.
Nous avons rencontré des responsables du Grand Lyon pour un échange d'expérience concernant les aménagements des rives de Saône et présentation des projets. Expérience très enrichissante pour notre projet des Berges. Nous avons même effectué une balade en vélo le long des berges de la Saône.
Aujourd’hui, nous avons sollicité les différentes structures intercommunales du département pour monter le dossier européen qui prendra en compte toutes ces richesses patrimoniales et nous permettra de bénéficier d’aides européennes.

François Calvet, Sénateur-Maire du Soler, apporte son soutien à la commune de Rasiguères

Le 24 février, François Calvet, a souhaité visiter les communes du Fenouillèdes, particulièrement touchées, lors des intempéries du mois de novembre 2014.

C’est ainsi qu’il s’est rendu à Rasiguères où il a pu constater, en compagnie du  Maire Paul Foussat, de ses adjoints et des membres de son conseil municipal, l’étendue des dégâts sur la commune.

Le financement de la remise en état des rues, des chemins, de la station des eaux usées, de la salle polyvalente représente une somme importante et la commune de Rasiguères a fait appel aux différentes institutions (Conseil Général, Association des Maires, Communauté de Communes) pour obtenir  des subventions.

C’est dans cet esprit que François Calvet a déposé un dossier auprès de Gérard LARCHER, Président du Sénat, pour une subvention au titre de la réserve parlementaire.

Gérard LARCHER vient de faire connaître à François Calvet, qu’il avait décidé, dans le cadre de l’enveloppe destinée à apporter, au nom du Sénat, une aide d’urgence aux communes victimes de catastrophes naturelles ou d’événements graves qui justifient un effort de solidarité, d’attribuer une subvention exceptionnelle de 20 000 euros.

Cette subvention s’ajoutera à celles obtenues ou en cours d’obtention par la commune pour pouvoir procéder à ces différentes remises en état.

Soutien des parlementaires à l'activité de la Société Republic Technologies

La Société Républic Technologies International basée à Perpignan dont l'activité consiste en la conception, la fabrication et la distribution internationale d'accessoires pour fumeurs, dont le papier à rouler, a souhaité émettre de vives inquiétudes au regard de l'éventuelle application de la mesure "paquet neutre" aux cahiers de papier à rouler dans le cadre du projet de loi Santé initié par Marisol TOURAINE.

Aussi, François CALVET et son collègue Député, Fernand SIRE, ont souhaité relayer auprès du Premier Ministre, de la Ministre des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des Femmes ainsi qu'au Ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique les craintes fondées de la seule entreprise française, implantée à Perpignan depuis près de 200 ans, produisant exclusivement en France du papier à rouler.

En effet, si une telle mesure devait être étendue au papier à rouler elle serait, en terme industriel, synonyme de destruction du patrimoine immatériel de l'entreprise, en terme de compétitivité et de concurrence ensuite, aurait pour conséquence de ne pénaliser principalement que l'entreprise Republic Technologies face à des concurrents étrangers qui eux ne verraient a contrario qu'une part mineure de leur activité affectée et en terme de contrefaçon enfin, elle favoriserait le développement des filières illégales existantes, contre lesquelles l'entreprise se bat aux côtés des services de l'Etat. Sur le plan sanitaire, cella signifierait l'arrivée massive sur le marché de produits contrefaisants extrêmement nocifs.

François CALVET et Fernand SIRE ont donc émis le souhait que ces élements puissent être pris en compte dans les arbitrages lors des débat à venir.


 

Tribune de François CALVET sur la politique du logement

Tribune de François Calvet, Sénateur-Maire des Pyrénées-Orientales, Porte-parole du groupe UMP du Sénat sur le logement

Politique du Logement : l’exemple à ne pas suivre

La politique du logement est emblématique des échecs à répétitions, qui marque le quinquennat du Président Hollande depuis son début. Face à une promesse électorale de construire 500 000 logements par an, les décisions prises restent inefficaces voire contre-productives.  Après trois lois et  212 articles en 2 ans sur le logement, 8 ordonnances  pour accélérer les projets de construction, après des centaines d’heures de débat parlementaire ponctuées de déclarations médiatiques fracassantes, le résultat est là : le secteur du logement est tétanisé et sinistré. Avec seulement 331.867 logements neufs mis en chantier en France en 2013,  les chiffres n’en finissent pas de reculer tant sur les mises en chantier que sur le nombre de permis de construire accordés.
L’équation du logement est pourtant simple. Il s’agit de concevoir les bons projets, et de trouver les financements qui vont bien.
Concevoir des projets, les collectivités locales savent encore le faire, mais leur niveau d’endettement entrave l’accès aux financements.
Reste alors l’initiative privée, totalement écartée par le Gouvernement. Potentiellement, elle existe. La France est un pays de promoteurs et d’investisseurs, et les financements se trouvent toujours pour de bons projets . Mais encore faut-il que l’Etat garantisse visibilité et stabilité fiscale, pour donner confiance aux investisseurs.
Hors la politique gouvernementale, obéissant à une logique purement idéologique, a tout fait pour saper la confiance, en supprimant toute visibilité et en revenant sans discernement sur ce qui avait été fait et qui produisait des résultats.
Comme la précédente majorité souhaitait favoriser l’accession à la propriété et la construction, le premier acte en faveur du logement du nouveau Gouvernement fut d’abroger la loi de mars 2012 sur la majoration des droits à construire et de mettre un terme au dispositif fiscal Scellier, trop avantageux pour les « riches ».
Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement s’est lancé dans une politique fiscale illisible, tant en ce qui concerne ses atermoiements sur le taux de TVA applicable au bâtiment,   qu’en proposant un dispositif « Duflot », à tel point inefficace qu’on a pu dire de lui que c’était le dispositif « du  flop ».
La politique de l’incitation aux investissements privés pour favoriser l’accession à la propriété a donc été remplacée par une politique de coercition en faveur de la seule production de logements locatifs sociaux avec notamment la loi ALUR. … Chacun retiendra toutefois de cette grande réforme la multiplication par cinq des pénalités dont sont passibles les communes, et donc les contribuables, en cas de non- respect de l’objectif de 25 % de logement social.
Les 177 articles étaient un chef d’œuvre de complexité, après l’annonce par le Président de la République du « choc des simplifications »,  à tel point que l’encadrement des loyers qu’elle prévoyait a été suspendu, non pas tant en raison du bon sens que de son inapplicabilité. Cette loi  se voulait elle aussi exclusivement orientée vers le logement social, oubliant que l’investissement dans la pierre ne peut être que le fait de collectivités publiques désargentées.
Il en est de même de la loi sur la mobilisation du foncier public pour bâtir de nouveaux logements sociaux. Plusieurs exemples ont montré que ce foncier se révélait être le plus souvent un foncier fantôme, ce qui vidait de son sens les dispositions de la loi du 18 janvier 2013.
Cette politique d’incohérence avec l’objectif annoncé de 500 000 logements construits par an, conduit à un résultat sans appel. Toutes les catégories sociales sont touchées. L’Etat est conduit à mettre en place une garantie locative pour les étudiants, à défaut de pouvoir mettre en place la Garantie Universelle des Loyers pourtant votée par sa majorité, alors qu’il aurait mieux valu encourager une offre plus large et donc plus accessible.
La politique du logement a besoin d’investisseurs. Les investisseurs institutionnels ont déserté et les investisseurs privés sont effrayés par cette stigmatisation des propriétaires de la part du Gouvernement. La crise économique n’explique pas tout quand la pierre a toujours été pour les français une valeur refuge.
La confiance est rompue et elle ne reviendra pas en quelques mois, quand l’économie de la construction et du logement répond à des cycles longs. Il faut entre 18 et 24 mois pour faire sortir un projet de terre.
Il serait donc temps de changer d’orientation  et d’encourager l’investissement et l’offre plutôt que de vouloir gérer la pénurie.
Il est urgent de redonner confiance à un secteur essentiel de notre économie. L’adage « quand le bâtiment va, tout va » reste une réalité. Mais quand le bâtiment ne va plus, alors rien ne va plus nulle part. C’est bien ce que ressentent nos concitoyens et ce que reflètent les sondages. J’en appelle donc à une vraie politique du logement, créatrice d’emplois et de croissance, ainsi que de bien-être pour nos concitoyens.

Réponse de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche suite aux inquiétudes de l'Université de Perpignan

Dans un courrier en date du 29 mai dernier, François CALVET, avait souhaité interpeller Geneviève FIORASO, ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, concernant le projet de loi "Enseignement Supérieur et Recherche" et plus précisément du devenir de l'Université Perpignan Via Domitia.

Aussi, par sa correspondance en date du 26 juin, Madame la Ministre a souhaité apporter les précisions suivantes :

"Rien ne permet d'affirmer que les regroupements proposés vont entraîner la disparition de la personnalité morale de l'Université de Perpignan. Seule la fusion aurait cette conséquence, et dans le projet de loi il n'y a aucune hiérarchie entre la fusion et les autres modalités de regroupement, aucune indication permettant d'inférer que les deux autres modes de regroupement (communautés et associations) sont des étapes vers une fusion programmée.

(...) Aucun établissement ne pourra se voir imposer quelque forme de regroupement ou transfert de compétence que ce soit, car seul l'établissement en décidera par une délibération de son conseil d'administration".

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