Nicolas SARKOZY: Un président courageux qui protège la France et les Français face aux crises
L’accord qui a été signé la semaine dernière pour le sauvetage de la zone euro et les
conclusions du G20 de Cannes ont mis, une fois encore, en évidence le rôle décisif joué par
Nicolas Sarkozy dans la résolution des crises qui bouleversent notre monde. Après la crise
économique de 2008 et face à la crise des dettes souveraines, le Président de la République
a su mobiliser, avec énergie et détermination, l’ensemble des acteurs européens et
mondiaux pour organiser une réponse concertée et solide face aux attaques des
spéculateurs. Par son action au service de la France et des Français, Nicolas Sarkozy s’est
montré à la hauteur de l’Histoire.
1/ Grâce à Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, un accord historique a été conclu pour
assurer l’avenir de l’Europe.
Le leadership incarné par le Président de la République et la Chancelière allemande a
permis de parvenir à un accord crucial, dans la nuit du 26 au 27 octobre, mettant en place
les outils nécessaires au sauvetage de la Grèce et à la protection de la zone euro :
Une solution durable à la crise grecque par la mobilisation de 230 Mds€ : l’annulation
de la moitié de la dette grecque détenue par les banques (100 Mds €), une aide des Etats
européens de 100 Mds€ et 30 Mds€ de garantie pour les investisseurs privés.
Le renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF), dont la dotation va
être multipliée par 4 grâce à la contribution des investisseurs privés, sans que cette
augmentation ne coûte un centime aux contribuables européens.
La consolidation du système financier, en imposant aux banques de renforcer leurs
fonds propres à hauteur de 9%, et de se recapitaliser pour continuer de financer
l’économie. En France, cette recapitalisation n’entraînera pas de nouvelles dépenses
publiques et permettra aux banques de continuer à financer les investissements des
particuliers et des entreprises.
La mise en place d’un gouvernement économique de la zone euro, qui doit favoriser
une politique plus cohérente et mieux coordonnée, et l’adoption d’une règle d’or
budgétaire par les Etats membres avant la fin 2012.
Cet accord courageux initié par Nicolas Sarkozy permettra de maintenir à flots l’économie
européenne et d’étouffer les tentations spéculatives contre les dettes des Etats.
2/ Le G20, présidé par Nicolas Sarkozy, a intégralement validé les décisions
stratégiques européennes face à la crise
Le G20 de Cannes du 4 novembre 2011 a validé l’ensemble des décisions stratégiques
européennes du 26 octobre dernier dont le plan d’aide à la Grèce, qui n’est plus menacé
par un éventuel référendum interne. C’est ainsi l’ensemble de la communauté
internationale qui salue le plan élaboré par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel dont Barack
Obama qui a déclaré à l’issue du sommet : «L'Europe est en mesure de répondre à la
crise de la dette. »
Le G20 sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy, a aussi donné un tour mondial aux
décisions stratégiques prises au niveau européen. En effet les 3 principes fondateurs qui
ont émergé du sommet européen – Fonds de sauvegarde, régulation des banques et
gouvernance économique - sont déclinés au niveau du G20 :
· le rôle du FMI comme rempart face à la crise est amplifié puisque ses ressources
seront augmentées pour qu’il puisse aider les pays en difficulté ;
· la régulation des banques et du système financier progresse puisque les banques
mondiales « systémiques » seront soumises à un contrôle particulier et devront d’ici
2013 augmenter leurs fonds propres, les 11 pays qui continuent à abriter des paradis
fiscaux seront mis au ban de la communauté internationale et l’idée d’une taxe sur
les transactions financière fait son chemin ;
· enfin le G20, qui avait été réuni pour la première fois au niveau des Chefs d’Etat et de
gouvernement à l’instigation de Nicolas Sarkozy en 2008, est clairement pérennisé
comme instance de gouvernance économique mondiale.
C’est donc un grand succès pour la France, l’Allemagne et la zone euro qui ressortent de
ce sommet confortées dans leurs choix et renforcées par la confiance de l’ensemble des
pays du G20. Grâce à la détermination et à l’engagement de Nicolas Sarkozy et d’Angela
Merkel, la zone euro est ainsi plus que jamais sur la voie du sauvetage.
3/ Depuis 2008, le Président de la République a agi pour protéger la France et les
Français des conséquences des crises mondiales qui se sont multipliées.
Dès 2008, Nicolas Sarkozy a mis en oeuvre une politique volontariste pour relancer
l’économie et préparer la sortie de crise :
* Le sauvetage des banques, qui a permis de préserver l’épargne des Français, sans
rien coûter au contribuable et a même rapporté 2,5 Mds€. Nous avons donc fait
payer les banques.
* Un plan de relance de 39 Mds€ pour favoriser l’activité économique et préserver
nos emplois. Le Grand emprunt, qui a mobilisé 35 Mds€ pour l’innovation, les
universités, la formation et la recherche.
L’emploi et le pouvoir d’achat ont constitué les priorités du chef de l’Etat. Au coeur de la
crise, la France est un des seuls pays développés, où non seulement les salaires ou les
pensions de retraites n’ont pas baissé (contrairement à l’Espagne, l’Italie, l’Irlande ou le
Portugal) mais où la protection des Français s’est améliorée avec :
* Le sauvetage ou la création de près de 3 millions d’emplois, avec le dispositif zéro
charge dans les TPE (1,2 M d’embauches), le recours au chômage partiel (300 000
emplois), 780 000 contrats aidés, 400 000 nouveaux contrats en alternance, un
soutien massif aux PME (18 Mds€) qui a permis de sauver de 20 000 à 30 000
emplois.
* La protection des Français face aux aléas de la vie : augmentation de 25% du
minimum vieillesse et de l’allocation adulte handicapé, revalorisation des
allocations familiales en fonction de l’inflation (1,5 Mds€), prime de solidarité pour
les foyers modestes (200€) etc...
4/ Pour réduire la dette, le Chef de l’Etat mène une politique claire et responsable.
Nicolas Sarkozy n’a pas attendu la crise pour mettre en place une politique responsable
destinée à diminuer nos déficits. Jamais l’ambition de la réforme n’a été abdiquée par le
Chef de l’Etat malgré la crise. Au contraire, la réforme des retraites, des universités, des
collectivités, des hôpitaux, le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la
retraite ont été menés à bien. Résultat : depuis 2007, la dette française a augmenté 3
fois moins qu’en Espagne, 4 fois moins qu’en Angleterre, 5 fois moins qu’aux États-
Unis.
Ce sont ces réformes qui permettent aujourd’hui à la France de conserver son AAA et
de rester un pays solide au coeur de la tempête !
C’est pour continuer cette politique que le Président de la République a lancé un plan de
désendettement de l’Etat : en réduisant nos dépenses et en faisant contribuer
l’ensemble des Français à l’effort national à proportion de leurs revenus, la France
reviendra à 4,5% de déficits en 2012 et 3% en 2013. C’est la garantie de services publics
et de prestations sociales financées dans les années qui viennent !
5/ A contresens de l’histoire, François Hollande continue de nous servir les vieilles
recettes dispendieuses du passé.
Plus d’emplois publics : 60 000 emplois supplémentaires dans l’éducation nationale,
300.000 emplois jeunes…
L’assistanat généralisé : allocation d’autonomie pour les étudiants, contrat de
génération…
Des promesses fallacieuses qu’il ne pourra pas tenir : retour sur la retraite à 60 ans,
abrogation de la réforme territoriale, fin des suppressions de poste dans la fonction
publique… C’est quand le pays a le plus besoin de réformes courageuses et d’une
politique responsable que les socialistes nous proposent un projet à 255 Mds€ !
Aux promesses des socialistes, Nicolas Sarkozy oppose la notion de devoir : devoir de
vérité, devoir de responsabilité, devoir de courage, même au risque d’être impopulaire.
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